L’écrivain Ahmed Assid(*) accuse les autorités Marocaines d’avoir falsifier l'histoire, pour préserver leurs intérêts locals, en ajoutant que Idris Le premier  n’est pas enterré à Fès comme on croit, jusqu'à dire que ce n'est qu'un rêve et qu’il y aurais............
un but derrière, et que la civilisation du Maroc a plus de 12 siècles, affirmant que les amazighs se sont installés au Maroc il y a plusieurs milliers d'années auparavant.
Ahmed Assid  a critiquer férocement Khaled Soufyani qui n'était pas présent à la réunion organisée par le mouvement du nouvel horizon en coopération avec  le club des étudiants, de la Faculté des arts et des lettres avant-hier à Rabat, sous le thème la «société marocaine et la question de l'identité», pour avoir déclarer qu’ André Azoulay (conseiller du roi) doit quitté le Maroc, Ahmed Assid a ajouté que ces paroles  provient d’ignorants de l'histoire, et que cela reflète le racisme et la haine, en ajoutant dans le même contexte que Khalid Soufyani ne savais pas que les juifs  on habités  au Maroc pendant des milliers d'années, et avant même l'avènement des Arabes a-t-il dit.

Ahmed Assid a également soutenu dans son  intervention sur l'identité marocaine, qui se caractérise par la diversité et le multiculturalisme, que l'histoire officiel du Maroc a été falsifié car elle a été  écrite en guise de caprices et d’intérêts des autorités, elle qu’elle doit être réécrite a nouveau, et que les Amazighs sont les premiers à proclamer ce-ci,
Parce que l’identité est étroitement lié à l'histoire, et que les autorités en fabriquer après l'indépendance  une histoire étrangères a l'identité Marocaine a-t-il ajouté.

Ahmed Assid a cité plusieurs  exemples, comme la musique andalouse,qui est  étrange aux  Marocains et qu’elle n’est pas  liés à leur culture, comme dans le «cas du tarbouch rouge» porté par les habitants de Fès , et que L'autorité en a  fait un  symbole marocaine.

Ahmed Assid n’a pas oublié ,devant une salle qui était remplie d'un grand nombre d'étudiants, d’envoyer des messages aux élèves sur la question Amazigh,son  exclusion et sa marginalisation, que ce soit dans les médias ou dans le système de l'éducation, accusant le gouvernement, de ne pas avoir créé toutes les conditions et  les mesures nécessaires pour sa conservation et de ne pas traduire les discours de Sa Majesté le Roi Mohammed VI  à Ajdir qui a insisté sur le fait d’appliquer une vraie justice pour les Amazighs au Maroc .
cette réunion, a connu l’absence de plusieurs enseignants: notamment Abdallah Saaf, Mohammed OuaKidi et Mohamed Dahan, en raison de leur présence à Casablanca pour assister à la cérémonie des funérailles du célèbre penseur Muhammad Abed al-Jabri.

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Ahmed Assid, né à Taourirt en 1961, il a étudié la philosophie et s’est engagé dans le mouvement pour la reconnaissance de la langue et de la culture amazigh (berbères). Il en anime une des grandes associations et publie plusieurs essais dont Questions de la culture et de l’identité dans le Maroc d’aujourd’hui. Il devient membre du conseil d’administration de l’Institut royal de la culture amazigh. Ahmed Assid est peut-être celui qui a pris le plus de distance avec les formes traditionnelles et a réussi à s’inscrire dans le mouvement d’ensemble, qui, au delà des langues, revivifie le champ de la poésie.

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